Je constate qu’il m’arrive de plus en plus souvent d’accomplir peu de tâches au travail, car je consacre de plus en plus mon temps à des activités superflues, comme aller sur Facebook, jouer à des jeux, lire, etc.

Je constate l’irritation croissante que je ressens lorsqu’on me demande comment se passe mon travail lors de fêtes familiales ou à d’autres occasions sociales, car j’aimerais à vrai dire ne pas y penser ou le fait d’expliquer ma situation actuelle au travail me met en colère.

Si j’avais eu toutes les cartes en main dès le départ, je n’aurais pas choisi ce travail.

Je dors mal la nuit du dimanche au lundi car je rumine déjà à l’idée de ce que me réserve la semaine de travail à venir.

Ces derniers temps, il arrive plus souvent que je souffre de l’estomac/des intestins ou que j’aie du mal à aller à la selle.

Si je devais un jour dire ce que je pense au travail, il y aurait de quoi sursauter!

Je me demande de plus en plus souvent si je suis vraiment à la hauteur de ma fonction.

Le dimanche après-midi, je replonge dans la maussaderie à l’approche de la nouvelle semaine de travail.

Il m’est de plus en plus souvent difficile de tenir les délais car j’ai repoussé mes tâches pendant trop longtemps.

Je décompte vraiment les jours jusqu’aux prochaines vacances.

«Déconnecter» durant le week-end devient de plus en plus difficile: je pense constamment au travail.

Le temps passe vraiment très vite quand je travaille.

Les nouvelles des médias annonçant que nous devrons probablement travailler de plus en plus longtemps me dépriment.

Cela me va si on m'appelle pour le travail parfois pendant le week-end ou les vacances au sujet de questions que je règle mieux que d’autres personnes.

Quand je rentre du travail, mes batteries sont vraiment à plat.

La perte de temps quotidienne due aux déplacements domicile-lieu de travail commence sérieusement à m’agacer.

Je souffre plus souvent de maux de tête ces derniers temps.

En termes d’ambiance et de plaisir au travail, je pense que la «bonne vieille époque» est révolue.

Ces derniers temps, j’oublie plus souvent des choses, je suis aussi plus souvent distrait(e), ce qui me fait commettre des erreurs et des négligences.

Avant, je trouvais important de bien faire mon travail. Maintenant, je m’en soucie de moins en moins.

En ce moment, je m’endors à peine installé(e) devant les programmes de télévision.

Je quitterais mon travail actuel sur-le-champ si je pouvais m’en passer financièrement!

Un projet mené à bien me procure encore beaucoup de satisfaction.

Depuis que nous avons reçu un smartphone au travail, je trouve que nous sommes trop facilement joignables, même à des moments où l’on devrait nous laisser tranquilles (si vous n’en avez reçu aucun de votre employeur, vous pouvez remplacer le smartphone par les e-mails au/pour le travail).

Avant, je riais de tous ceux qui disaient souffrir de burn-out. Maintenant, j’en sais quelque chose.

Dans l’état actuel des choses, je déconseillerais plutôt à d’autres de se lancer dans la même profession que moi.

Je trouve et/ou mon entourage m’a déjà fait remarquer que ces derniers temps, je suis plus irritable ou plus absent(e) quand je rentre du travail.

J’ai plus souvent l’impression qu’au travail, on n’est plus aussi satisfait de la qualité de ma prestation.

J’ai le sentiment que les objectifs que je dois atteindre d’ici la fin de l’année de travail sont de plus en plus inaccessibles ou irréalistes.

On me dit parfois que le week-end ou en vacances, je «m’épanouis totalement» et que j’ai l’air moins stressé(e).